Quels sont les pays les plus dépensiers à l’heure d’acheter une bouteille de vin ?

Quels sont les pays les plus dépensiers à l’heure d’acheter une bouteille de vin ?

On se demande souvent quels sont les régions ou les pays qui consacrent en moyenne le plus d’argent à l’achat d’une bouteille de vin. Les français, producteurs de vins mondialement réputés et plus proches géographiquement à l’heure de faire leur choix ? Les italiens, numéros 1 du classement des producteurs mondiaux de vin en volume en 2016 avec 48,8 millions d’hectolitres ? Ou les chinois, nouveaux acteurs du marché vinicole et grands amateurs de vins français ?

Selon une étude réalisée par Movehub, le pays qui apparaît le plus dépensier en moyenne lors de l’achat de bouteilles de vin est la Suisse. Ainsi, les helvètes ont un budget annuel moyen de 593 euros pour 54 pièces, soit 10,99 euros par bouteille. Avec un tel attrait symbolisé par un budget important alloué, une cave à vin de vieillissement serait la solution la plus appropriée pour les conserver.

Après la Suisse positionnée numéro 1 du classement, viennent des îles considérées par de nombreux pays comme des paradis fiscaux et abritant une clientèle aisée. Dans l’ordre, les îles Caïmans, avec un budget annuel de 537,26 euros, les îles Malouines avec 530,23 euros, Aruba, avec 473,31 euros et enfin l’île australienne de Norfolk avec 437,41 euros consacrés à l’achat de bouteilles de vin en moyenne cette année.

Concernant les amateurs français (16e du classement), ils sont un peu moins dépensiers que les suisses avec un budget annuel de 283,40 pour 56 pièces soit un peu plus de 5 euros par bouteille. En bout de classement, les pays les moins dépensiers à l’heure d’acheter une bouteille de vin sont le Népal avec 0,17 euros, le Turkménistan avec 0,12 euros, l’inde avec 0,09 euros et enfin l’Ethiopie avec 0,02 euros par bouteille en moyenne.

Enfin, nous obtenons le prix d’une bouteille de milieu de gamme autour du monde avec le pays le onéreux, les îles Marshall avec 22,17 euros, et le moins cher, le Togo avec 1,52 euros pour une bouteille.

Les changements climatiques impactent la production mondiale de vin

Les changements climatiques impactent la production mondiale de vin

SI les perturbations climatiques sont constatées depuis maintenant de nombreuses années via la multiplication des GES (gaz à effet de serre), son impact sur la production mondiale de vin n’avait pas encore été clairement soulignée.

Cependant, la donne est en train de changer avec la hausse de la température de l’atmosphère terrestre. Ceci, couplé aux périodes plus récurrentes de gel et de sécheresse, chamboulent les cépages et leur qualité. C’est ce qu’a annoncé l’Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV) en estimant la production mondiale à 259 millions d’hectolitres pour cette année, soit un des plus faibles volumes depuis 20 ans.

Parmi les pays les plus touchés par cette saison historiquement terne, l’Argentine a perdu 35% de sa récolte par rapport à 2015 et affiche 8,8 millions d’hectolitres produits cette année. Autre pays d’Amérique du Sud durement touché, le Chili, avec une dégringolade de 21% et une production de 10 millions d’hectolitres en 2016.

Et qu’en est-il de la production française ? La France demeure le 2e pays producteur de vin dans le monde avec 41,9 millions d’hectolitres, toujours selon l’OIV. Une place de second juste derrière l’Italie et ses 48,8 millions d’hectolitres produits cette année.

Pour vous prémunir de toute baisse de la production liée à des conditions météorologiques difficiles dans la région de votre viticulteur favori, optez pour une cave à vin de vieillissement. Vous conserverez ainsi des bouteilles en réserve pour votre plus grand plaisir.

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